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Affichage des articles associés au libellé Poésie

L’acclimatation morale : De l’importance des cépages

          Ci-fais le vide               avec David              en poésie,              tes mots, choisis              Dans ton espace                laisse venir             leurs formes… Trace                aussi mourir                comme quoi meurt                dans le malheur                 de n’être assez                 bon à tracer ?             Accroche-toi                 à l’amour, Vraie    ...

La santé poétique

Voici la véritable signification de la possibilité de la poésie : La lecture est de mes valeurs, je la chéris comme la santé de mon âme en bonne action Là où la poésie peine à se dénicher, où on ne l’aime, ni la pense, rechercher, si on en manque et qu’on la prive de bercer, ça signifie que la lecture est en procès Si toi aussi, là où tu vis, tu es témoin de la poésie censurée et abusée, c’est la lecture le salut de tout humain Sache en la poésie l’innocence accusée

Caravansérails de Poésie

  Caravansérails de Poésie C’est le concept de l’édition de poésie, les maisons d’éditions, de publications de poètes, sont à calquer sur ce modèle. En quoi ce serait discriminant, pléthore d’éditeurs qui me barrâtes l’accès avec morgue et stéréotypes, silence et pertes de temps ? Faites-vous kiosques de poésies, où la présentation des beaux styles sera respectée. Les questionnements théoriques encombrent et ne finissent d’envahir les revues, ce que vous n’êtes pas vrais, des extensions nauséabondes des revues poétiques, en ligne ! Or, parmi l es meilleurs poètes et critiques, linguistes et philosophes, l’affaire est entendue depuis bien longtemps. La poésie est coloriste et sonique, belle non seulement esthétique, raison et vibratoire, oui Vie et pensée, temps vécu, passé, repris, donné, recherché, toujours semblable à ce que tout le monde en sait depuis toujours, pas la peine d’en délirer, dérégler, vaniteusement. La poésie telle qu’elle est ce n’est plus un mystère et le reste ...

La prochaine fois

  La prochaine fois                                                        J’écris à une jeune femme,  en remontant les larmes de l’immeuble où je réside, un poète né de rien Je suis à ma porte, oser entrer ? Oui, j’ai mes clés Personne ne m’attend, mais, seul, l’appartement est bel J’entre ! Avec ce que j’ai acquis… ( Pour la liste, merci ) Il faut vous dire que je fis  mes emplettes où gît un très bon vin bon pour le cœur, la santé des acteurs Mais une autre raison potion m’ôtait de ma pension Je suis là devant ce pâté   poivre vert eh matez Homme en fauteuil attend, si lent  silencieusement  J’ai ajouté l’interjection de ma direction Puis il regarda droit devant sur ma gauche une enfant De Hauts-de-Pomme , a-t-elle dit si tu crois au génie  Je l...

– Et lui, là, pourquoi il rigole ? —

La scène imaginaire du clown qui rejoue sempiternellement ses quelques vieux tours parhétiques, en feignant de pleurer : —  Voyez, les enfants, il est triste le livre, l’arbre est mort pour lui, alors la poésie ce n’est que ça. Les mots doivent porter leur part de peine et de culpabilité, tout cela pour vous ! Pour vous donner des poèmes ! Pas trop jolis alors, vous devez respecter les arbres.  Ce clown avec son idée fixe n’est nul autre qu’un aka parent bonhomme qui se réserve le droit à lui seul de faire toutes ces mauvaises blagues, de travestir la réalité qui résulte en partie de son métier mal fait depuis quelques lustres et du fait que l’on ne peut pas mettre sur le marché cent belles œuvres de poèmes en langue française par an avec ce mode de culture, mais aussi peut-être parce que les clowns qui griment leur dilettantisme sous des airs de spécialistes et des couvertures aux noms légendaires, n’ont pas assez lu ce qu’ils reçoivent et, au nez et à la barbe de la société...