On a mis les savoirs de base, fondamentaux, au moins dès le CP : lecture, calcul, écriture. On n’a pas encore assez fait passer le message : le plus important de ces savoirs tous fondamentaux est la lecture. Parce que c’est le moyen clé pour apprendre à y retravailler et comprendre bien puis mieux, progresser, tant dans l’art de lire que dans les lectures nouvelles et découvertes ou redécouvertes au fil du temps. Les autres savoirs de base se cultivent aussi. J’affirme hiérarchiquement la primauté à savoir lire. Mais il existe encore plus important car toujours premier ou presque, c’est le parler. On a laissé cela aux familles, naturellement. Mais une éducation scolaire qui n’incite pas au parler avec la conscience d’un savoir de base, qui a brimé au contraire tant de générations et d’élèves, on obtient un peuple de taiseux. Que l’on n’ait jamais mis en classes primaires des cours d’éloquence, de lecture à haute voix, de diction, pour toute la classe, les classes, que seul l’art ...
subtile la déglingue ou la délivre