On laisse prétendre que la réception des poètes veut un temps long. C'est n'importe quoi. C'est un art vivant. Un éditeur, des lecteurs, doivent prouver qu'ils ne sont pas macabres. Tout le monde a intérêt à prouver la vie. Cette exception pour les poètes cache une grosse gêne et un chagrin de la raison. C'est un art où la marque du féminin dans un mot, une lettre, suffit à bouleverser un vers et à changer la donne, c'est difficile et contrariant, dans certains cas, pour certaines plumes et têtes de lecture. D'où ne pas fondre en parlant d'intelligence, de plusieurs domaines et capacités, pour éviter d'avoir de la peine si la littérature, exemple, doit être la vocation de valeur. C'est pareil en sciences, dans d'autres façons de travailler utile. De même, des cours de parole, jeunes. De même, ne pas attendre 17-18 ans pour parler de philosophie : liberté, raison. On a appris comme du bétail. Peu sortent de là éclairés, du moins lucides, je ...
subtile la déglingue ou la délivre