Pour une fois que c’est un écrivain qui est invité à parrainer ce printemps des poètes. L’an prochain ce sera peut-être une personnalité « poète ». Ce sont là des raisons éditoriales qui devisent de leurs intérêts et pas une raison poétique ne s’y exprime. Le point de départ de l’affaire n’est pas poétique non plus, ce sont d’autres raisons éditoriales. C’est ce qui est clairement interrogé par la tribune ou le collectif mécontent, aucune raison poétique française parmi ces auteur•es. On peut en savoir plus de vos statistiques de manuscrits pour recueils refusés et vos raisons inexprimables ? Genre. Mais on peut admirer la puissance des raisons éditoriales pour l’occasion. Les poètes n’ont plus besoin de ces chaînes éditoriales, chaînes qui ont assez à faire à regretter de vivre de la famille Baudelaire, de la famille Rimbaud (comment il va, Arthur ?), de la famille poète qui est vivante et qui vous demande pardon, et on salue les familles de poètes et l’éducation dont viven...
subtile la déglingue ou la délivre