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Le chiffre d’or : 3,236

Le chiffre d’or de 3 et quelques distribué en deux : augmenter le salaire par un et demi et deux fois moins le temps de travail ; embaucher quelqu’un, répartir le travail et payer cette personne au même salaire. En une génération, par prévision, la valeur du travail augmente et le salaire se justifie. Appliqué à tous les métiers salariés, les métiers libéraux comme l’artisanat et le commerce en bénéficient par pouvoir de dépense. La valeur de l’argent et la valeur du travail sont victimes de morales et d’ordres qui ne sont pas de raisons dans les champs actuels de leurs possibles. « Où vais-je trouver l’argent » disent Superpatron & suremployés du patronat. Au temps de l’argent dématérialisé, son existence en valeur de mérite n’est plus à démontrer. C’est l’argent en valeur de force de travail, utilité sociale, symbole du cours de la vie selon l’État, les conditions en vigueur, les permis. L’examen des valeurs devrait être permanent, mais il est remplacé par les conditions des valeurs imposées, dont on n’a pas le choix, faute de temps et de qualité. Les forces en présence ont peu de raison et leur ancienneté profite du sens de la tradition, la dévalorisant au gré de corruptions. On traite comme si on payait avec des liasses dans une valise confidentielle. Avec le chiffre d’or pour deux augmentations de moitié et un poste salarié dans la fonction publique, l’argent circulera comme le sang dans un organisme, sans rétentions, parmi les multiples maladies de sa circulation. Sa dépense sera raison et irrigation, dès la première génération, non-malade dans les idées. La régulation défiera sans mal la raison de n’importe quel économiste, politique, partisan. L’argent relèvera la vie dont le mérite ne sera plus prouvé par le droit de la gagner sèche. La valeur de « peut-être », avec le sentiment de jamais, traduit le savoir sans pouvoir. Leur inverse est le discours idéologique ambiant. 

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