La mesure en expansion

En cette année 1998, suite à mes recherches sur la vitesse de la raison r je tiens à m’adresser au président Chirac, qui vient de dissoudre l’assemblée nationale. Au terme de mes mesures, j’ai le résultat suivant : la raison couvre une surface de 550 000 km2 en 26 ans. Formalisons en fonction d’un cadre référentiel, savoir : le réel. La grandeur scalaire de la vitesse de la raison existe dans plusieurs relations qui reposent sur les formules de la constante Planck-Einstein, grâce au facteur du coefficient de proportionnalité développée dans E = rf, r étant la raison, f étant sa fréquence et E son énergie. Dans le même ordre de la mesure, R = rf, r étant la vitesse de la raison, f son fondement, R sa fondation. Cette fonction angulaire du « quantum de raison » est liée à la mémoire, qui se rapporte également à sa transmission, comme suit : Mt = mo, m étant le mouvement et o sa diffusion. Cette troisième formule reprend le mouvement et la diffusion par la quantité de la raison, en lien avec E son énergie, M étant la mémoire et t la fonction du temps relatif. C’est la constante du vecteur de raison. Pour une mesure espace et temps, ou surface en raison à diffusion mesurable, j’obtiens r = 58 km2/j et r2 = 1000m2/s, r et r2 étant la vitesse de la raison par jour et par seconde, obtenue à raison de 21000km2 par an, soit la taille d’une petite région ou de plusieurs départements. Au niveau qui est le mien (bac+27) je suis honnête de vous livrer ces mesures à l’unité près avec une marge d’erreur et de calcul qui incite à la modestie et à la raison, conscient de la valeur et de la chance de l’unité qui a permis la mesure avec la distance nécessaire. La raison couvre 10 ares par seconde, soit un cercle couvrant 1 km2. 
Afin de contribuer au mouvement des citoyens, le ministre de l’Intérieur monsieur Jean-Pierre Chevènement dispose des plus récentes mesures de la vitesse de la raison, de champs d’application de sa diffusion, pour de nouvelles mesures de sa probation à la lumière de la preuve.