Ça pète de partout, c’est une crise d’esprit. Dans ces cas-là on vide les congestions flatulentes du dinosaure, on game over, l’État stoppe son cinéma, on mobilise l’attention sur un sujet et une décision évolutionnaire, on fait un référendum. On met fin à la révolution à partir de la dépouille de la chambre parlementaire, pouvoir législatif excessif. On va vers la simplification, ces « corps intermédiaires » grassement exigeants et inutilement pourvus de moyens et d’assistance. On remarque en passant que le pouvoir est le verbe imparti à tous ces corps jusqu’à la débauche de force, mais le savoir est le verbe déserté par le quota de force dévolu à ces corps. On comprend ainsi le manque de responsabilité, de volonté de tenir compte de l’information, du dialogue personnel à la demande, instante, légitime, motivée. On va vers la simplification de l’état en profondeur.
Constitution Ve République
Déclaration des droits de l’homme1 et du citoyen du 26 août 1789
1. Femme et Enfant
Art. 1. Les hommes Tout citoyen est une personne, individu, humain, et à ce titre naît et demeure libre et égal en droit aux autres citoyens. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.2
2. Dans l’esprit abrogation des tutelles, des différences selon le préjugé : fou, inférieur, débile, pauvre… Il y a eu des progrès, gouvernementaux, légaux, juridiques, depuis plusieurs années.
Constitution du 4 octobre 1958
Art. 1. La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.3 Son organisation est décentralisée.
3. Cela ne veut rien dire.
Constitution Ve République Édition 2005, DALLOZ
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