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Le sens de l’orientation

À lire dans l’actualité, il appert une chose que l’on ne dit pas ou peu, mais qui serait structurelle de la politique française. Les dernières années permettent de considérer le problème : en France on ne créerait pas un parti centriste fort, car les gauches et les droites en seraient clivées et un fort ressentiment sourdrait d’elles contre le parti centriste et son président. Cela ne se ferait pas, ce serait implicite, parce que ce serait organiser trop le terrain politique et la vision, gauche droite, droite gauche, en serait bouleversée, comme si c’était le fin du fin de la vision et des repères politiques. Les « herbes folles et utiles », des marges des partis droitistes et gauchistes, n’auraient plus loisir de s’ébattre gaiement dans les marges du centre ; est-ce qu’elles s’ébattent dans les marges de gauche et les marges de droite ? « nous les tenions », « nous les tenions », et « voyez maintenant, centristes, le désordre que vous avez mis là où on n’a pas le droit de faire cela à nos traditions ». La reliure, j’appelle le centre « la reliure », et si la reliure craque, alors le livre n’est plus. Il n’est plus tenable. Mais pour contenir ces « toxiques », une pile 📚 de  :   «  r o m a n s  n a t i o n a u x  » est-elle nécessaire ?






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