La poésie c’est un milieu qui a du mal à se classifier comme la chanson : pop, rock, classique, jazz, j’en passe. Faut deviner tout à peu près, on est à la peine et qui sait si les poèmes ne sont déjà en exercices à l’école à compléter par les élèves pour leur ajouter rythme et rime. Les labels ont tendance à fuir le problème, voulant que ça vienne du corps des poètes. Se classer en poésie contemporaine est une facilité et une nécessité si en poète on veut vivre : facilité, nécessité, vie, moindre des choses. On est compréhensible de tous les siècles de poésie, c’est comme ça. S’y promener est relativement une facilité de lecture. Avec une certaine mémoire, travaillée par nécessité, la vie de poète est un beau métier qui valorise une langue de vie et de raison, le temps est bon qui, chaque jour, suffit à sa peine. Si je faisais profession de critique, comme on en trouve en chanson, je poserais en entretien des questions pas normales, mais c’est aux journalistes politiques de commencer. C’est une question de bon sens, pour la politique. On vit en narquois. Avec ce qu’iels font on en est pas mais largués. En poésie on travaille autrement avec les mots. Ça humanise, la lecture. Depuis le temps que la date de prélèvement correspond, la date de l’opération est rien leur sujet. Autrefois on gaspillait de l’encre. je suis un ancien client, donc je m’y connais. AGIO ça me connaît.
subtile la déglingue ou la délivre
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Commentaires