La prochaine fois
J’écris à une jeune femme,
en remontant les larmes
de l’immeuble où je réside, un
poète né de rien
Je suis à ma porte, oser
entrer ? Oui, j’ai mes clés
Personne ne m’attend, mais, seul,
l’appartement est bel
J’entre ! Avec ce que j’ai acquis…
(Pour la liste, merci)
Il faut vous dire que je fis
mes emplettes où gît
un très bon vin bon pour le cœur,
la santé des acteurs
Mais une autre raison potion
m’ôtait de ma pension
Je suis là devant ce pâté
poivre vert eh matez
Homme en fauteuil attend, si lent
silencieusement
J’ai ajouté l’interjection
de ma direction
Puis il regarda droit devant
sur ma gauche une enfant
De Hauts-de-Pomme, a-t-elle dit
si tu crois au génie
Je lui ai demandé, ça m’in-
téresse, Où est papin’
Où est maman, et pour laisser
passer sans un danger
J’ai obtenu son bras, le droit,
en nous baladins, roi,
princesse et reine mère et : Page
arriva pour l’image
Mais dans ces froids et grands rayons
où nous vous hélions
Madame ! Madame ! Minou !
Voici ton serviteur ! Minou !
Lors à Page Je dis : `vous laisse ?
Oui… — Et ? — ELLE… à la caisse !
Ça s’annonce bien ma soirée
Il me faudrait du lait
Ne sachant quérir sinon là
où sont ses amis froids
À jeune Dame par chemin
Je songeai mander mien
Mais vious aviez ces esgourdeurs
posé sur écouteurs
Lors vous me vîtes je le jure
torve dans l’aventure
Je trouvai le lait opposé
à ses âmes rasées
par la froidure et conservées,
grâce au gars du métier
Dame je sais de votre temps
Essuyez le tourment
Vous avez le courage où rit
qui retourne au ferry
Moi, j’arrivais de ma Pontoise,
pour la tarte coco framboise,
je l’avais je savais où j’allais,
où j’allais… où j’allais… Pas là lait
Mais tout alla
Merci Allah
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