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Calliope et Érato au pays du viol

Que vois-je en librairie comptemporaine, au rayon des recueils de poèmes contemporains ? On dit moins recueils, mais on affiche le sous-titre poésie et on parle autant de poètes. La plupart du temps je vois les livres, que j’ouvre, même ailleurs qu’en librairie. Sur le grand livre d’Internet aussi. Je vois donc des livres, de poètes, publiés par des éditeurs. Oui, mais ce sont des poètes. C’est tout, ils n’en ont pas le métier. Je ne leur dénie pas d’être poètes, comment aurais-je cette dureté méchante ? Mais la plupart en écrasante majorité, ne fait pas ce métier, du moins pas dans les livres qu’ils publient, ce qui est tout le problème, pour ma part complète et entière. Les raisons de cela, va savoir. Les éditeurs ont probablement des responsabilités encore plus graves à ces absences, que les poètes eux-mêmes, qui ont en énormément aussi. « Hâtez-vous lentement et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez… » L’art poétique, de Boileau. C’est exactement ce que les éditeurs, les proches des poètes, devraient leur dire. Les poètes devraient se le dire entre eux et à eux-mêmes. C’est un autre métier. L’ouvrage c’est l’œuvre, les poètes dont je parle ont les mots. Le métier, c’est arriver en persévérant et en s’accordant à produire la poésie qui est cette art de lire et d’avoir écrit en tension de langue, ce à quoi nous aident tant de formes et tant d’exemples dans les livres anciens et même aujourd’hui. Le problème c’est que l’impression de laxisme et de refus de poétiser en se nommant poètes est un art nouveau. Les éditeurs, quelles que soient leurs relations avec ces poètes, ne peuvent pas nous faire accroire que malgré les apparences, car pour eux c’est bien, comme si je mentais éhontément (core, pas moi : message aux ministère des livres), ni nous faire admettre que malgré les poèmes pas finis du tout, car ils ont des mots, malgré cela les poètes de chez nos éditions, sont des poètes de métier qui commencent et continuent et mollo pour vous économiser et parce que ils en gardent sous leur matelas et pur les copains. Admettre ça, n’est pas être sous domination du monsieur que je suis moi et dont la raison folle vexe les poètes, qui en deviennent des tout-gamins pitoyables à consoler. En sachant bien ce qu’ils faisaient, ils ont laissé tant de poètes dont ils connaissent bien des noms, et des poèmes, que c’en est une tristesse. Et si ce mot de tristesse, gêne, pour x raison, j’y ajoute, car je ne le remplace pas, c’en est un lamentable compromis.                 Ça irait loin comme ça si fallait compter les péchés. Qui n’est pas dans une impacte à jouer les poètes comme cela si longtemps, n’a pas eu le sens de l’orientation. Lequel ? 
Il y a une façon de mentir et feindre d’ignorer, en parlant avec quelqu’un, au sujet de leur truc ou  de quelqu’un d’autre, qui doit signifier rien d’autre que : j’ai envie de baiser avec toi et tout oublier, alors j’oublie déjà de dire vrai et tant de choses que remuent ma cervelle et la vérité. Après, c’en est là les poètes. À ne pas respecter l’art poétique, est-ce que le respect de l’art de la séduction amoureuse a gagné de la poésie, la grâce, la patience, le consentement mutuel et le bonheur ? Il faut demander aux éditeurs et aux poètes depuis, ça dépend de vos ambitions, depuis la fin du vingtième siècle ou depuis quatre décennies jusqu’aux quatre-vingt dix-neuf dernières années en date, si vous êtes courageux. Alors vous trouverez des listes, comme un peu  des annuaires et vous leur demanderez ou leur écrirez, au téléphone sinon, ils auront sûrement de quoi vous répondre, ceux-là sont éduqués.

Alors que nul ne vienne me reprocher que rien de bien ne m’arrivera tant que je ferai des critiques. Il y a des victimes qui auraient bénéficié de plus de chance si leur harceleur avait été éduqué correctement et collectivement.


Ce texte porte un titre : Au pays du viol de Calliope et Érato

Peu de métiers, bien faits, se dérégulent jusqu’à l’absence de règles, sinon la matière, l’objet, les espèces de signes. Un singe qui frappe un petit coup de marteau sur la rotule d’une pièce de jambon de porc, ou sur un chat angora vivant lui aussi, et qui passe ensuite sur sa tête simienne le casque audio qu’il a en utilisant un pinceau noir puis il barbouille des feuilles de l’arbre à côté, on appelle cela un docteur en médecine de n’importe quelle époque qui ausculte un patient ? Pas du tout, pas même en art poétique sérieux et amusant.

Le sens éducatif des vocations retombe sur nombre de jeunes en faisant résonner (dans le silence) le motif : job alimentaire ; les œuvres de seconde main faites comme un job alimentaire au détriment d’autres œuvres faites sérieusement mobilise la société et la culture bien que leurs auteurs et employés actifs aient leur job, là où dans d’autres compétences clés. La raison veut que la jeunesse et tout individu capable, prêt, soit éduqué et accepté avec humanisation, jamais avec le sens du bétail. Il s’agit des métiers, pas de la communication gratuite, semi-caricaturale, des ondes ou de poète philosophe chrétien se plaignant de voir échouer ces chances, justement, de trouver sa voie et de faire entendre cette bonne raison. 

Ces gens poètes sans métier et leurs correspondants éditeurs peuvent raisonner en Finnois, l’affaire est inchangée. On doit se redresser et les cours de Finnois à l’appartement ou au domaine sont un piètre substitut à la poésie et à nos us et coutures bien Phrâmçezes. 

Si tu avais, on ne fait qu’imaginer, un différend que tu ne tiendrais jamais pour bon et normal de formuler, mais en usant du pouvoir qui t’es confié, tu ferais ? ou pas ? tout ton possible pour permettre que jamais un différend comme le tien ou différent, puisse exister, du moment que c’est un différend possible avec des outils en commun qui te seraient obsessivement odieux, pénibles, à effacer ? Imaginons plus précisément que ton différend existe à cause des électrons. Est-ce que toi, ayant un différend à cause des électrons, voire avec un électron ou une famille d’électrons, tu te mettrais en piste pour éradiquer les électrons de ta maison ? Puis les électrons de la ville, avec les photons de leur société, avant de chasser les carions des cations de ton pays, avec les instituts de protons, et ainsi de suite en décollant de la Terre après l’avoir vidée de ces électrons, pour faire le tour des gravilons de l’Univers ? Sous prétexte, pour continuer non pas toute seul, mais efficacement avec un groupe de convertis contre eux les électrions, tu les rallierais à ta cause agissante ces employés de ton groupe, jusqu’à ce qu’ils croient, pour certains, que le style des créons est pénible et ne doit pas être encouragé, pis, converti en autre ou disparaître, ce qui revient au même, — tu sais les problèmes de transmission, ils existent et servent efficacement des mauvaises causes avec des raisons fausses pour un résultat identique à ton différend qui nourrirait une volonté d’arrêter les ictrions, pourtant pas en raison de leur style, mais de ton différend avec quelques-uns. Est-ce que les électrons, t’expliquerais-je pour te raisonner, le cas échéant, la négativité des électrons est-elle semblable à la négativité qui anime ton différend, ce qui nous prive, ce dont nous souffrons, un compte bancaire négatif, l’absence totale de preuve de rétablir une justice lorsque tant de gens connaissent la douleur de victimes et les vacances des bourreaux ? Ou mieux comme la dévaluation et la feinte de faire croire à des innocents et des responsables que la poésie est telle que ses censeurs la publient et la produisent ? Quand on sait et eux aussi, que des poètes fidèles et douées, ont peu de reconnaissance ou aucune, et vivent mal ou disparaissent longtemps ? Alors me diras-tu, à quoi servent les électrons, à quoi bon des électrons ? Ne fais pas l’enfant, en prenant trop sérieusement cette histoire de différend. Même si tu ne sais pas encore à quoi bon des électrons, ne sois pas impressionné•e par ce récit épique qui a de la démesure l’art et non le sens de la réalité. Car il s’agit d’une comparaison, très bien ficelée, comique, comme si les grenstons étaient sujets à des différends, avec toi et avec d’autres gense. Pardon, serait-ce encore une raison de chasser les neutrons qui sont utiles même si invisibles ; mais leur action est bien réelle et dans ta zone de paix, de vie, de bien-être et d’amour, qui sait, il y a des britons et la famille, le Boson Z W et peut-être soi-même. C’est pareil en poésie et comme le Boson de Higgs des écoles, la poésie est bien rangée, peut-être un peu moins, mais plus que les bosons et leur band, la poésie est sujette à des formes et à des utilités qui ne sont pas comme les elektros et leur famille, mais très utiles également à nous. Avec tout cela, élagons et consorts, poésie et poèmes, tant plus, tant moins que plus trop, un métier de quarks est possible et permis, c’est bien de l’accueillir gentiment comme un bon poème. C’est sans doute pas la faute d’un électron si un différend est arrivé entre vous deux, lui et toi. C’est pas ma faute aussi au nom de la poésie si j’ai un différend avec les poètes et leurs éditeurs. C’est au sujet du métier, dont j’ai les preuves, comme tu peux avoir les preuves du métier de l’électron, ce qui apaise tout différend entre le versuion & sa famille, d’avec toi.

“Time is poney” C’est une folie, qui invente des motifs de publier des littératures au prétexte de la poésie. C’est non une rime de raison, mais au plus symbolique. C’en est une rime qui ne rime pas. C’est bien une défection de l’art poétique, un long refus du métier des poètes. Écoutez ! C’est du temps ! Oyez ! C’est tant d’argent ! C’est Franklin sans rimer à Benjamin. 

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