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Articles

Affichage des articles du mars, 2024

C’est un monde

Si nous nous éloignions d’un monde, en gardant sur lui un objectif tel un téléscope q u i a j u s tera i t à tout instant l’observation de ce monde, afin que nous puissions voir en réalité selon nous les avancées de ses œuvres et des choses auxquelles nous tenions, raison suffisante de l’observer en nous éloignant toujours de lui, ou longuement, à vitesse constante ou variable, verrions-nous de ses œuvres l’image fidèle, réelle, à ce monde, ou bien ? Est-ce que, malgré notre télescope bien réglé pour nous montrer en taille conforme à ce que nous voyions dans ce monde avant de le quitter, sauf en l’observant et en lui écrivant, de loin, malgré tout, l’image que nous recevrions et lirions quotidiennement de ce monde en continuel changement et reprise de lui-même, ces images et ces œuvres n’auraient-elles que l’apparence de certains caractères reconnaissables, assez pour nous faire penser que c’est bien là le monde que nous connaissions et qui ressemble à ce qu’il est ? Mais p...

Calliope et Érato au pays du viol

Que vois-je en librairie comptemporaine, au rayon des recueils de poèmes contemporains ? On dit moins recueils, mais on affiche le sous-titre poésie et on parle autant de poètes. La plupart du temps je vois les livres, que j’ouvre, même ailleurs qu’en librairie. Sur le grand livre d’Internet aussi. Je vois donc des livres, de poètes, publiés par des éditeurs. Oui, mais ce sont des poètes. C’est tout, ils n’en ont pas le métier. Je ne leur dénie pas d’être poètes, comment aurais-je cette dureté méchante ? Mais la plupart en écrasante majorité, ne fait pas ce métier, du moins pas dans les livres qu’ils publient, ce qui est tout le problème, pour ma part complète et entière. Les raisons de cela, va savoir. Les éditeurs ont probablement des responsabilités encore plus graves à ces absences, que les poètes eux-mêmes, qui ont en énormément aussi. « Hâtez-vous lentement et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolisse...

À Sa Konsom

  Vous ne recevrez pas votre chèque-énergie si vous n’appréciez Ma-gouverne-poésie Nous vous donnons des clés pour une écologie équilibrée en tempérant le jour la nuit   Tout écart de conduite et de température est un gaspi livré à Sa Littérature Cette saison, baisser d’un degré ou/et de force, réparti entre nuit et jour, ÉcoS’Amorce • Ma gouverne • Épargne • Énergies •

Tout pointillé

Et puis tenez, Bidule, au sujet de ce sujet difficile,   nous aux dossiers et à l’écran on n’a trouvé aucun mobile C’était quand là qu’un type un peu marrant qui chantait en ramant comme nous en avons tous réacquis le droit même à présent Tenez-vous bien, Bidule, un homme, au douzième siècle chrétien, par l’assemblée d’un peuple de région fut condamné au rien et ces gens ne sachant pas ce que c’était l’ont mis à néant • Et moi qui tenais ça pour une légende, moi la tenant… Je ne mentionne pas la torture terrible endurée tant de jours par ce condamné innocent qui chantait en ancien amour Aux dossiers on refuse de garder cela encore un siècle parce que avec mille et les superstitieux c’est très complexe Mais ce fut bien gardé et à l’écran on a assez de ça Le porno au JT de 20 heures capté… où qui passa…  En quelle année ? Cela correspond à ces satanés voyeurs On n’en sait rien et c’est tout leur pouvoir aux attracteurs

Salut

  À Gerbovie À faire tourner le progrès comme ces là travaillant tant d’impulsions m’avait dit ça  Je ne cherche pas rien du tout la vérité  Arrêter le dirlée, pas du tout la dicté  Vous étiez assez cons dans votre genre, alors m’eût dit quelqu’un aussi qui n’aurait pas eu tort et de bien m’employer, à la bonne virgule, celle-là qui avance lorsque je recule Et puis c’est tout no problemo cas de le dire Préparer ça, c’est important, le devenir Et puis t’as l’autre act•élément qui ambitionne d’expliquer à quelqu’autre et connu que t’es bonne On est bien là mais à part toi et ça salut On t’écrit depuis le logis où j’étais nu sous mon duvet, sous la couette de mes objets Le pyjama des mes habits, découvert de mon j’ai

Bonjour

 Ès-lutte : La guerre contre l’espace-temps…  Ils n’ont jamais rien dit avec les mots lors du bicentenaire à la révo’ Pourtant, maman, ils avaient tout de quoi après mai 68 et de la voix Si moi•je laisserais tout négligé Vous aurais des poèmes dits la crème  d’un fichu pas possible à part ces fous qui n’ont jamais compris l’histoire aux cous Cela les humanise, un peu, parfum La révolu française est un purin à côté de la mémoire qui hurle Il n’est pire raison que l’arbitraire et employer des mots avec sans sur l• avis de gens •  evil  de Jean • V • angeur