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2. La culture poétique : raison et livres

Un beau poème est un poème adapté à la lecture. La lecture bien sauvegardée approche naturelle et variée, libre, tout en respectant les multiples formes et les règles. Il y a un profond effroi, un dégoût, à se sentir qu’un art tel que la poésie, qui a été promu, se voit au tour suivant ou à la génération après, promis au néant parce que c’est démodé. Alors c’est une trahison totale et les gens ne se parleraient plus si le langage était traité comme cela ; or, c’est exactement cela. On ne peut pas vivre de lire que des gens des temps passés, surtout pas en poésie. Ce serait bien de travailler à l’art poétique, pas comme des fans . Culturellement, politiquement, dans l’intention des gens qui n’en font pas, ou peu, la poésie n’est pas à intensifier comme des fans. Écrire la poésie se peut sans problème. La langue est un très grand medium de raison. La poésie en est une expression réelle et émotionnelle : la Rime correspond en raison ou en émotion, comme le langage dans l’univers.

« Nous EN veut des cons et les calées ſait pour ça »

    Donc là, vous aviez une Brunehilde au sens livré par Jacques Prévert. Paris : une enseignante suspendue après avoir frappé une élève de 3 ans, une enquête ouverte Vous imaginez une pareille en classe de cours préparatoire, en enseignant la lecture, qui associe la récompense de l’exercice réussi à des petites images et qui injurie les élèves en échec les premières semaines, relégués au fond de la classe ? C’ est une Brunehilde aussi et ce n’est pas bien amusant. Cela existait, j’en témoigne. Le mieux c’est de ne pas la rater au moment où ç’allait trop loin car le temps d’apprendre lire et sociabiliser n’est pas celui de subir la puissance endurée dans l’espace de jour en jour. Le pouvoir de nous lire est autrement mieux raisonnant à travers l’univers devenu. Si vous pouviez, mesdemoiselles, mesdames et messieurs, vous comporter impeccablement, un monument, ce serait moi le professeur des écoles à laquelle vous n’avez rien bien suivi : là, pédago’, gît. Parce que non, ce ne sont pas

La poésie la vie

La poésie en trou autre achat en creux, pardon, c’est en cadeau une bonne idée pour les mots Je t’offre  Le sapin aux chats C’est dans le genre du délire assumé par l’État où luire et même par les gens du livre T’as pu le lire en étant ivre sans décoller de la banquette  où t’as trouvé la place, avoue, de poésie et de l’enquête Si fallait exister sans nous… Voilà on devrait lui créer un monde, à ce poème  en n’arrêtant jamais d’avoir de quoi lire en françaime

Bureaucratiquement

Depuis mil sept cent quatre vingt douze vous faites un bien mauvais métier bureaucratique en fête Vous consistez à langager le bien en mal La version est la pire et la paire ô fatale  Vous avez quoi contre les camps dans le plaisir pourrai-je demander avec le pervertir Et t’as l’autre salaud dans le texte en français  qui va pourrir l’idée de conclure un sujet Comme la poésie à qui on n’entend rien depuis que trois pouëteux sont : • quoi • qui • que •, de bien des modules,       façons,       oui merci, c’est bien sûr, on l’aura bien passée notre littérature  Vous avez de quoi je me mêle à son bureau affecté au récit avec trois hétéros Enfin j’imaginais et le temps de finir a rimé, confondu, à ne pas revenir Enfin tout ça c’en sont     oui mais les vôtres, cuites Il fallait voir ce qu’on fera de vos élites Une active pensée sensée a des mots soin Passe-moi une brique, ayant soif de ce pain C’est la vie en personne et soyez court  Je reviendrai vous expliquer, amour, comment je vois, je

Écolesa

 Donc en fait en ce2 en classe de cours l’instite a déballé ma vie de ma famille, et tout que j’étais fut déballé en la classe au fil des mois, de temps en temps. J’ai écrit un poème, une fois, ou un et demi. Une l’idée en classe instaurée par ici hein, ec la maison. Je croisque l’instite alluma en loucedé les autres classes contre moi. Un annou deux. Car ça castagna plus tard.  Paris propage la terreur depuis 1792, ce qui est impardonnable, il fallait le dire cela. Mal tôt malades mentaux crées à riens de bien 

Fan de

Est-ce q u e t’es fa n de l’éd u c’ nat’ ? M o i n o n pl u s Pas a u p o i nt d’épr o u v e r u ne perte s’ i el perd le r ô le de starlette e n   fam i l y , terre erre Là o ù c’est grave, j’ y s u is fa n       de m o i , n o n ’l u ’

La gouverne à nous 🇫🇷

 L a g o u v e rn e à n o u s 🇫🇷 Le défilé han continue T’as vu ! Ces deux-là ils ne sont pas mal Que dalle… Le problème n’est pas que l’assemblée nationale C’est la fonction de ministre primale « Auriez-vous pas un vieux binôme en tradition, De Gaulle ? » Une gouverne au cube, un second pôle ? La séparation des trois pouvoirs et des motifs de non-censurer l’espoir collectif En votant, moi, pour m’exprimer, d’incertaine façon Je n’ai pas voté par procuration Si le jeu est truqué comme à des machines à sous, voyez de vos écoles l’éclat saoul Dans le paranormal on lit aussi, pas mal de trucs Et des nouvelles de la France en stuc Plu s o n co lle on en du it, o n r ecou vre de co uch es louc hes Pour re nou ve ler ça, c om b ie n n’ y tou che Ce n’est vraiment pas un métier T’y es ? On doit observer l’animal Normal

Poésies

Do   v   e Je fais comment dire à ceux-là que je les sauve ? Il faut chercher, chercher, chercher, dire autre chose Ne pas faire à l’amour un dos rond comme à l’ove Auge sait plus ! Je suis gentiment De La P r ause   ! Un cas  Le jour où un poésien à leur sauce devient Ze président Je crains qu’iel commette des c’rimes, dettes, et par tas Dans notre État En voilà des Exigences de  days  en  days , à crasse d’effets de  classes quand   Cas  veut de  Sa Majesté  de  tep l ee  y est, “Sue fait Quelques bonneys” Tu verras bien si je t’ bonne à quelqu’un dont je crée Dame, le souhait, avec la volonté, Me,  dull,  d’envoyer de la bulle, auprès d’inno’pregrets Çâ vase être coquet là tout à fait, proche d’un oncle qui fût furoncle Je ne te cache pas ma foi fiée d’un jour sans fine non-sans cesse-ointe c’est votre temps pourri qui cause l’enfer des prairies Soyez-en péries Comme â l’ancienne, à l’ammemande, à la goldue, du coin, qui me rejoint, pour mettre fin au malheur des fürheres de fut 

Audience Danket, avec nos rapporteurs PIERRE•à•FEUILLE

Toge de recteur d'académie ( source Wikimedia, licence Creative Commons ) C’est calme mais au moins on n’avance pas. Ça devrait toujours avoir du calme. Messieurs, le Recteur d’académie, le Préssédent, L’Inspecteur d’académie -  Directeur académique des services de l'Éducation nationale ( jamais-là ), Messieurs le RA et IA-DASEN , estimez-vous bon que cessent les purges dans les écoles de la république de France ?  …  Quel est votre degré d’appartenance à la langue française de la république :  degrés : 1ere langue ; deuxième langue ; troisième langue ?    Pour quel État dans l’Europe travaillez-vous ?  …  En quel idiome accordez-vous le sujet ? En quel idiome conjuguez-vous le verbe ? Le prédicat, vous le prêchez pour quel pouvoir ? Croyez-vous que ce soit bien de faire cesser les purges politiques dans nos écoles ? En avisant tous les proviseurs et principaux des lieux d’enseignements qui sont à votre charge, selon vos consignes ? Êtes-vous pour ? Êtes-vous contre les purges

La santé poétique

Voici la véritable signification de la possibilité de la poésie : La lecture est de mes valeurs, je la chéris comme la santé de mon âme en bonne action Là où la poésie peine à se dénicher, où on ne l’aime, ni la pense, rechercher, si on en manque et qu’on la prive de bercer, ça signifie que la lecture est en procès Si toi aussi, là où tu vis, tu es témoin de la poésie censurée et abusée, c’est la lecture le salut de tout humain Sache en la poésie l’innocence accusée